Katinka Bock

Katinka Bock (c) Katinka Bock

Actualités

Katinka Bock, Hans Josephsohn, Fabian Marti
Warum ich mich in eine nachtigall verwandelt habe
27 février – 29 mai 2016
Kunstmuseum Luzern
Europaplatz 1
6002 Luzern
Switzerland

Demain dans la bataille pense à moi
11 décember 2015 – 14 février 2016

Commissaire d’exposition Magalie Meunier
Institut d’art contemporain
Villeurbanne
Rhône-Alpes, France

Katinka Bock
Zarba Lonsa
15 octobre – 19 décembre, 2015

Les Laboratoires d’Aubervilliers
41, rue Lécuyer
93300 Aubervilliers

 


Publications

Pazifik, Katinka Bock

2014

Ouvrage publié en 2014 à l’occasion de l’exposition Katinka Bock : A and I, présentée à Henry Art Gallery, University of Washington, Seattle, 1 février – 4 mai, 2014.

Edition Henry Gallery Association / Roma publications, Amsterdam.

Textes : Marie-Cécile Burnichon, Thomas Clerc, Luis Croquer, Sylvia Wolf

ISBN 9789491843150

Née à Francfort-sur-Maine en 1976, diplômée des Beaux-Arts de Berlin et de l’École nationale des beaux-arts de Lyon, Katinka Bock vit et travaille à Paris. Résidente à la Villa Médicis en 2012/2013, elle a reçu en 2013 le 14ème Prix Ricard (France) et le prix Dorothea von Stetten (Allemagne). Son travail a été l’objet de nombreuses expositions personnelles, notamment au MAMCO, Genève (Suisse) en 2013 et au Henry Art Museum, Seattle (USA) en 2014.

« Qu’elle intervienne dans le paysage ou qu’elle conçoive des formes, des objets ou des installations pour des espaces intérieurs, Katinka Bock pense souvent au territoire.(…) Son intérêt et sa curiosité tous azimuts pour les sciences humaines, autant que physiques et mathématiques, nourrissent discrètement des œuvres qui frappent par leur simplicité formelle et par l’absence de tout discours littéral. Les cercles et les lignes en constituent les architectonies tandis que ses projets prennent corps dans des matériaux élémentaires et organiques (bois, journaux, goudron, pierre). Cette sobriété tient moins aux impératifs économiques que rencontre la plupart des artistes en début de course qu’à sa volonté d’utiliser ce qui est déjà disponible et en usage « au » monde. Point de ready-made pour autant : Katinka Bock est plutôt du côté de ceux qui construisent, remuent la terre et scrutent le ciel. Ainsi, si elle avait vécu dans l’Antiquité, elle se serait certainement intéressée à la « prise d’auspices » : pour savoir où placer le lieu de culte d’une divinité, les prêtres découpaient une fenêtre dans le ciel et attendaient que des oiseaux la traversent (signe de bonne augure). Ils projetaient ensuite au sol les coordonnées du futur espace consacré. »
Marie-Cécile Burnichon, 2007